Jeudi 12 mai 4 12 /05 /Mai 19:34

Pour situer un peu le départ de cette première expérience, je dirai que j'avais dix huit ans tout juste, et que j'étais sortie avec un gars en boite, qui était un très bon danseur et qui m'avait fait frissonner juste en me faisant tourner sur la piste... tellement bien frissonnée que j'avais accepté son délire quand il m'avait glissé à l'oreille :

- j'adore danser avec une gonzesse sans culotte... tu voudrais pas aller retirer la tienne ?

Rien de plus.. juste ça, avant de me planter sur la piste pour aller siroter son verre au comptoir...

dire pourquoi je l'ai fait ? ... aucune explication logique... défit personnel, envie inconsciente, ou désir de continuer à danser... quoi qu'il en soit, je me suis retirée deux minutes aux toilettes, j'ai retiré ma culotte de sous ma robe pull à manche courte, (tricotée par ma mamie), la serrant dans ma main pour le rejoindre au bar et lui glisser dans la poche en lui demandant de m'offrir un verre... voila donc pour la génèse de l'histoire... pour de début, ça c'est passé chez lui... j'ai pas refusé dele suivre quand il me l'a proposé... le jour commençait à poindre derrière la baie vitrée quand je me suis accroupie devant lui... je crois que ça c'est fait comme ça, sans un mot, dès la pore poussée... il était un peu stonne, et j'ai douté en prenant sa queue entre mes lèvre de pouvoir lui donner de la vigueur... mais je me trompais... il a laissé tombé son masque de mec un peu bourré pour passer à un tout autre personnage... c'était la première fois qu'on me faisait des commentaire sur ma manière de sucer... non pas que j'ai eu fait ça souvent non plus... mais lui ne se gênait pas pour me dire que je le suçais bien, que j'avais une bouche de salope avec sa queue dedans, et plein de truc du genre qui auraient du me faire me relever pour le giffler... mais je crois que j'étais trop occupée par ce que je faisais pour m'en ofusquer vraiment... car sa bandaison, quoique lente, m'a impressionnée... car il s'est rerouvé avec une queue assez impressionnante, et je me demandais coment j'allais faire pour parvenir à la sucer encore tellement elle m'a paru trop grosse... et je n'ai pu qu'acquisser du regard quand il m'a demandé si c'était la plus grosse que j'avais vue, et si j'aimais la sucer...droit à un petit compliment en retour, quoique très vulgaire :

- et toi t'es la plus belle salope qui l'ai sucé jusqu'à ce jour...

je n'ai pas résisté quand il m'a relevée pour me plaquer face à la parois, car j'avais envie de plus moi aussi... mais ça ne m'a pas enpeché de grogner sous cette agressivité soudaine.. tout comme sous la puissance de sa pénétration... car il a été en moi alors que je réagissais à peine de mon plaquage contre le mur... mais je m'étais tellement laissée aller que j'étais offerte à cette pénétration, cambrée comme jamais, je le sentais alors qu'il s'activait déja de toute la longueur de sa queue, accrochée à mes hanches... et je me demandais comment il avait fait pour me relever, me plaquer au mur, me soulever la robe, et me prendre, tout ça alors que moi j'ai juste sentir le heurt entre le mur et mon buste et ma joue...

mais ma voix elle laissait partir une autre message, un message qui m'a poussée au comble de la honte moi si réservée en amour :

- oh t'es monté comme un ane ! On m'a jamais baisée aussi fort...

et lui me de troubler encore plus en me rendant le compliment :

- et moi j'ai jamais baisé une salope aussi étroite ! J'ai l'impression de baiser une vierge ! Et pourtant tu coules come une fontaine salope !

Il ne m'a pas ménagée, ni physiquement, ni moralement, m'anéantissant l'esprit par ses remarques répétées et toujours plus vulgaire... me ravageant le corps en me poussant toujours plus fort contre la parois à laquelle je m'appuyais pour ne pas je griffer... et j'étais tellement affolée à l'idée de m'abimer le visage sur cette sorte de crépi rugueux que je n'aipas senti monter l'orgasme, ou plutot que je ne l'ai pas senti arrivéer à fond... car je pense qu'il ne s'est écoulé qu'une minute ou deux avant que j ene jouisse... et j'ai jouis comme jamais je n'avais jouis : en criant mon plaisir, en ayant peur de mon palisir, tro surprise peut etre... pour la première fois je me suis vrillé le cou pour crier à mon partenaire que je jouissais, qu'il me faisait jouir... et pendant qu'il poursuivait ses coups de rein, j'essayais de me rappeler quand j'avais jouis ainsi, oralement, avant.. et un autre orgasme est arrivé, tout aussi explosif et rapide, et j'ai détourné le regard, affolée de lire sur son visage cet air triomphant, cet air de dominant... et surtout pour ne pas continuer à regarder ses lèvres bouger et me lancer toujours plus de "salope" et de "chienne en chaleur"...

il s'est alors asagit un peu, du moins physiquement, ralentissant ses va et vient, les rendant plus doux, plus amples aussi... mais verbalement, oralmeent, il s'est encore plus laché, me dominant totalement en venant meme emprisonner les geste de ma tete en empoignant mes cheveux sur ma nuque pour me faire tourner la tete vers lui quand il voulait une réponse...

et ce jeu m'a poussée plus encore dans l'excitation et dans le plaisir, et je m'en voulais de me soumettre ainsi à ce délire bestial... je n'étais plus qu'une salope en chaleur qui remerciait son male de lui donner autan de plaisir... et mon esprit se batait contre ma bouche qui continuait de répondre.. mais je perdais pied à chaque orgasme, et ils se succedaient trop vite et trop fort en moi, et c'était meme pire avec cette douceur dans sa pénétration alors...

maisquand je l'ai entendu annoncer la suite, j'ai cru mal comprendre...

- maintenant que tu l'as bien prise dans ta chatte gluante, je vais te la mettre dans ton cul de salope !

- qu'est ce tu dis ? Non... pas ça...

- je te dis que je veux te prendre le cul ! Tu t'es trémoussée toute la soirée le cul à l'air, et tu veux pas que je t'encule ? Mais tu te fout de moi non ?!

Je n'ai pas pu répondre, car la seconde suivante je me retrouvais à genoux devant lui, sa queue enfoncée trop profondement pour me laisser seulement grogner... car ce n'est pas moi qui l esuçais, mais lui qui s'activait dans ma bouche en me bloquant la tête à deux mains par dessus...mais chose sidérante, j'ai avancé la main et je lui ai caressé les couilles... peut etre pour accélérer l'arrivée de son plaisir...

mais ça n'a pas duré, et ilm'a rejoint au sol pour m'embrasser pour la première fois de la soirée, ou plutot de la nuit...

- t'es trop géniale comme meuf toi ! Viens sur moi que je te baise encore...

et je me suis retropuvée à faire le pont au dessus d elui, en appuis sur mes talons au sol, et sur mes mains szrrière mon dos sur ses épaules... et lui m'aidait à peine dans cette position dificile; me soutenant à peine par la taille, car il soulevait ma robe de laine qui glissait trop...

- oh comme tu mouille ! Tu me trempe les couilles comem jamais ! T'es vraiment trop bonne à baiser toi !

Je sais plus si c'est moi qui bougeais... oui si c'est lui qui me pénétrait...mais j'ai vite pris mon pieds, trop concentrée sur mes effort pour rester sur lui pour ressentir le plaisir monter... j'ai donc crié sous l'explosion, et je me suis écroulée, trop envahie de bonheur pour continuer...

et il a profité de mon abandon pour rouler avec moi sur le coté, et glisser plus haut dans mes fesses... je suis revenue à la réalité d'une coup, le ventre traversé par une barre chauffée à blanc ! Mais je crois que je me suis offerte malgré l'attroce pénétration.. je me suis offerte en tirant les genoux à moi, et meme si ma main est parti vers sa hanche pour l'arrêter, je me suis laissé aller à son envie, lui reprochant dans un souffle la rudesse de ces assauts...

mais ça n'a pas arrêté sa puissance, et en quelques va et vient il me faisait constater que je mouillais maintenant du cul... ça m'a anéantie je crois d'en convenir... mon corps acceptait cette pénétration... tout comme mon esprit d'ailleurs... je lui en voulais, mai sje n'ai pas pensé à le repousserà à lui échapper.. je l'ai laissé continuer...

je sais pas si je pourai décrire ce qui se passait en moi..cette queue si grosse qui glissait entre mes fesses... ses mots orduriers à mon oreille, ses mains accrochées à mes épaules pour remonter plus fort en moi... je crois que tout m'anéantissait, tout me rapprochait de la salope pour laquelle il me prennait...

puis il y a eu cette sensation étrange qui a grossit tout autour de sa queue, pour envahir bientot tout mon bassin.. entre le fourmillement et l'engourdissement...

ça m'a surprise, étonnée, intriguée meme.. et il a choisi ce moment là pour me demander de revenir sur lui...

j'ai cru que c'en était fini de la sodomie, j'en ai été rassurée je crois...

je me suis donc relevée ravie... mais j'ai pas refusé en m'accroupissant, quand il a reguidé sa queue vers mes fesses, et je me suis empalée moi meme analement, accroupie sur mes talons, m'accrochant à son buste pour aussitot jouer de tout mon corps pour faire grandir cette drole de sensation qui était revenue aussitot sa queue en moi...

et plus je m'activais, plus elle grandissait... c'était pas une sensation d'orgasme qui grossi.. c'était autre chose... une sorte de bien etre... une chose qui endormait ma volonté et qui me forçait à chercher plus loin l'énergie de poursuivre mes descentes et mes montées sur cette belle queue... car c'est ce que je lui disais, en hahanant au dessus de lui... je lui disais qu'il était trop gros pour mon cul, je lui disais qu'il me faisait mal, je lui disais qu'il me distendait trop fort et que j'allais me déchirer... je lui disais tout ce que j epouvais ressentir de négatif, tout ce que j'avais ressenti aussi, en mentant puisque certaine avaient disparu face à cette forte sensation inconnue... mais je lui disais pas que j'étais troublée par ce bien etre qui grandissait toujours...

jusqu'au moment où mon corps s'est exprimé tout seul, et qu ema voix ne m'a plus obéi... jusqu'au moment où cette sensation a été totale, et où je n'ai pu que grogner que je jouissais... et j'en suis revenue toujour active, mais trempée de sueur... et je me suis débarassée de ma robe de laine, juste avant de crier sous une autre explosion divine... et j'ai eu droit à plein d'insulres encore, des insultes et des comentaires qui n'ont fait que m'enflamer l'esprit et me faire jouir une autre fois encore...

je crois qu'il m'a retournée sans ménagement en plein orgasme... couchée sur le sol sans meme avoir changé ma position, j'avais maintenant les pieds en l'air... et c'est lui qui s'activait... et j'ai crié... j'ai crié de ses coup de queues qui l'enfonçait trop vite et trop fort dans mon cul, j'ai crié pour n epas reconnaitre que je jouissais de me faire enculer, j'ai crié pour n epas avouer que j'aimais me faire enculer... et lui me relançait, à chauqe coup de queue, à chaque ruade, après chaque série trop rapides qui me faisaient chavirer...

mais il a su m'amener à e caresser, et dans mon délire de plaisir j'ai fini par ne plus lui résiter... et je suis entrée dans son jeu verbal, m'anéantissant sous sa volonté...

- touche ta petite chatte... elle est où ma queue ?... dans ton cul ??? tu l'aime dans ton cul ?...

et je me suis branlée le clito à sa demande, perdant totalement pied en confondant les plaisirs... je ne savais plus si c'est lui qui me faisait jouir, ou si c'était mon magueur nerveux...

et quand il m'a demandé si je voulais revenir sur lui pour m'enculer toute seule, je crois que j'ai rougis, en faisant oui de la tête...

et ça s'est terminé en position de cavalière, moi agenouillée par dessus son bassin, penchée en avant pour essayer de me museler en l'embrassant, pendant qu'il se dechainait avec moi coté bassin... moi qui bascculait d'avant en arrière, et lui qui jouait trop vite sous moi... les orgasmes m'ont faite hurler tellement ils ont été puissants, puissants comme sa queue qui m'a semblée deux fois plus grosse dans ce déferlement de rage... et j'ai déliré avec lui, lui avouant que j'adorait me faire enculer, et que je regretais de ne pas avoir essayé avant, et lui prometant de le laisser m'enculer toute la journée ( il faisait bien jour alors derrière la baie vitrée...

je crois que j'ai perdu pied completement après... je pense qu'il a du jouir lui aussi, en moi, en plein délire...

j'ai repris pied en chien de fusil sur le tapis devant une table basse... j'ai récupéré mes esprit : lui dormait, avachi dans le canapé tout proche... j'ai récupéré ma culotte dans la poche de son jean qui trainait au sol, et je me suis habillée en hate... et j'ai quitté son appart, les jambes en coton...

voila comment j'ai découvert la sodomie...

et je dois avouer que je ne refuse jamais, depuis, quand un homme me le propose, ou me le sudgère... mai sj'exige toujours qu'il me prépare avec sa langue, lui laissant croire qu'il est le premier, et je ne porte plus de culotte, uniquement des string, depuis que l'un d'eux m'a dit que j'avais un cul moulé pour les string, et moulé pour la sodomie...

par contre je ne suis jamais retournée dans la boite om j'avais rencontré mon premier "enculeur"... je crois que j'ai trop peur de me resoumettre à lui...

 

Par conf - Publié dans : confession féminine
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Commentaires

j'ai adoré cette histoire. Moi aussi j'adore ma laisser sodomiser avec éjaculations interne
commentaire n° :1 posté par : lovabaize le: 01/09/2014 à 15h10

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