Mercredi 11 mai 3 11 /05 /Mai 18:38

Ma première fois, la vraie, ça a été avec un homme qui m'avait prise en stop un mercredi midi où j'avais manqué mon bus... non pas que j'ai voulu faire l'amour avec lui pour le remercier de m'avoir transportée... pour cela, je lui avais proposé de s'arreter deux secondes à la maison pour une biere... mais j'ai pas eu le temps de la lui offrir, car à peine passé la porte, je me suis retrouvée dans ses bras à l'embrasser... pourquoi ? Tout simplement parce qu'il m'a dit :

- comment tu t'appeles au fait ?

- Karine...

- et bien Karine, j'ai très envie de t'embrasser...

et dans la minute qui a suivit, je me suis retrouvée avec son sexe chaud dans la main, car il a guidé mon poigner vers le zip de sa combinaison de travail... ( c'était un installateur de chaudière je crois)

je l'ai fait sans vraiment y penser, ou plutot en me disant que ma curiosité allait un peu etre contentée... et j'ai donc senti sous mes doigts son sexe chaud, qui s'est rapidement gonflé et durci sous ma caresses de curieuse...

- et si tu me montrais ta chambre...

sa proposition m'a parru tellemen logique que je l'ai aussitot entrainé derrière moi, le tenant toujours par la queue, puisque lui me tenait l'avant bras d'une main pour pas que je le lache et de l'autre il me caressait le bas du dos et les fesses par dessus mon short... un petit trajet bien sur, mais entrecoupé de plusieurs halte pour s'embrasser...

puis le lit, à genoux dessus, lui toujour derrière moi, et aussitot mon deshabillage sous ses mains agiles et ses baisers coquins... mon polo d'abord, mon soutien gorge ensuite... petite halte coquine pour me faire gémir en me suçant les tétons... je crois que le plus troublant c'était ses commentaires et ses questions, pour savoir si ça me plaisait... pour sur que ça me plaisait, que ça m'excitait... je crois d'ailleurs que je l'ai aidé à defaire la ceinture qui enserrait mon short avant de le laisser me mettre en culotte.. il m'a couchée alors sur le dos pour m'embrasser, m'ecrasant de son poids, et j'étais trop excitée, moi presque nue et lui dans sa combinaison encore, à part sa queue que je sentait dure contre ma culotte... dans ma tête c'était le vésuve : j'allais faire le grand saut !

J'ai crié de surprise quand il m'a arraché la culotte au lieu de me la retirer, et j'ai crié encore, mais plus faiblement, quand il a glissé sa langue sur mon minou... je me suis tellement ouverte que je pouvais voir sa langue bouger, et je ne sais pas ce qui était le mieux, entre la voir ou la ressentir... et je tirais sur mes cuisses pour basculer mon bassin vers sa bouche, pour continuer à admirer cette caresse si divine, malgré que mon corps m'ordonnait de me laisser aller, de m'étaler, de m'effondrer...

j'ai éssayé de lui répondre quand il m'a fait délirer en constatant que j'étais encore pucelle... il n'était pas pressé de me fair ejouir, il prenait son temps, jouant aussi des doigts contre mon minou pendant qu'il me questionnait en redressant la tête... et je n'avais pas honte de m'avouer encore vierge, et je n'avais aucune gêne à lui dire que je voulais qu'il me dépucelle parceque j'adorais sa manière de me lecher le clito...

il m'a fait répéter plusieurs fois que je voulais qu'il me prenne, en me faisant m'approcher de plus en plus de l'orgasme... puis tout est allé très vite je crois... j'ai explosé en me laissant aller toute molle dans la couette... j'ai cru que je me liquefiais dans le matelas même... et pendant ce plaisir, je l'ai senti se defaire de sa combinaison, et je me suis lovée sur le coté, et il s'est glissé derrière moi...

je crois que j'ai eu mal... mais je crois que j'ai oublié cette minute... je crois que j'ai tourné la tête vers lui pour chercher sa bouche pour ne pas me plaindre, pour l'embrasser... et puis j'ai adoré sentir son sexe glisser dans le mien lentement, pendant qu'il me tenait la jambe bien haute pour que je soit bien ouverte devant son sexe surement... c'était tellement géant comme sensation... c'était si gros, si envahissant... et si caressant, si présent...

mon esprit me ramenait sans cesse à mon ventre, que je voulais ne pas resentir de peur de devoir encore mal... je me focalisais sur sa langue, cette langue si géniale qui m'avait fait jouir juste avant... je crois que c'est cette idée fixe qui m'a fait accepter la douleur, et qui m'a fait découvrir tout a coups que j'allais bientot jouir...

j'ai jouis quand je l'ai entendu me remercier je crois :

- t'es la première vierge que je baise...

cette évidence m'a donné un flash terrible, un flash de plaisir, pas de déception : "je ne fais pas l'amour, je baise... je me fais baiser, et j'aime ça !" moi qui avait tellement rêvé au prince charmant... j'étais trop heureuse que ça se passe comem ça... je me susi d'ailleurs surprise tellement j'étais heureuse : je me suis dégagée de son sexe, et j'ai sauté par dessus lui pour me pencher dessus, bouche ouverte... et j'ai su aussitot quoi faire... et j'ai pas tenté de le disuader que je m'y connaissais... il croyait que j'en avais déja sucé d'autre, et me félicitait de ma manière de le faire... je n el'écoutais pas... j'étais je crois en plein remerciement pour cette queue qui venait de me faire femme, et je voulais la connaitre, l'apprendre, pour ne jamais l'oublier...

et j'ai lu avec mes lèvres ses formes, ses courbes, ses veines, sa peau... et j'ai gouté avec ma langue chaque centimètre de cette belle chose que j'avais accepté en moi...

mais ça n'a pas duré mille ans cette découverte... car lui voulait encore de moi...

il me l'a dit, m'attirant sur lui pour m'embrasser... avant de me repousser, assise sur lui, assise sur sa queue...

et j'ai découvert que c'était à moi de bouger, à moi de monter et de descendre sur sa queue...

ça m'a paru d'abord impossible... chaque centimètre de mouvement de sa queue me demandait un effort inoui tellement je le sentais fort en moi... mais à force de petits geste, j'en suis arrivée à m'empaler totalement, à me relever totalement, et même à le reguider en moi quand je le perdais... lui me tenais par les hanches pour me guider, mais surtout pour me donner la fessée quand je m'arrrêtais de bouger... c'était génial... c'était trop... le plaisir qui montait me paralysait... et lui me faisait repartir par ses petites claques cuisantes... je crois que j'ai jouis trois fois dans cette position, le suppliant de m'aider, de ne plus me fesser, mais en lui avouant que j'adorais qu'il me "punisse" ainsi... et lui me complimentait, me disait que j'avais un cul trop mignon, trop petit pour qu'il le laisse tranquille...

il m'a surprise en glissant sous moi en une seconde pour se retrouver derrière à me pousser à quatre pattes

et j'ai gémis d'affolement en me faisant lecher le cul... et j'ai compris pourquoi il le faisait, et je ne pouvais pas accepter cette idée, et je l'ai supplié d'arrêter, je lui ai demandé d'oublier cette idée, mais en même temps je lui tendais les fesses, car c'était une caresse trop délicieuse..

mais il ne me répondait pas, et continuait de me lecer, de passer et de repasser sa langue sur mon anus, et meme dedans bientot... je crois que j'ai essayé d'avancer un peu à ce moment là, mais il a retenu mon bassin dans ses mains puissantes... alors je l'ai supplié de ne pas m'enculer, pendant que sa langue le faisait déja...

quand il s'est redressé derrière moi, les mains encrée dans mes hanches, j'ai su que c'était trop tard pour moi, et que j'allais me faire dépuceler une seconde fois...

mais sa voix m'a fait fondre :

- tu voudras bien que je t'encule la prochaine fois ?

Et i la pas attendu ma réponse pour se reglisser dans mon vagin, me déclenchant aussitot un orgasme...

ses mains n'étaient plus utiles sur mes hanches, alors il les a laisser se promener sur mes fesses et mes cuisses, m'incitant à bouger par moi meme en douceur....

et je me suis mise à délirer tout en m'empalant sous les impulsions de ses mains, lui prometant de le laisser m'enculer la prochaine fois, même si j'étais tout juste habituée à sa grosse queue dans mon minou pour le moment.... et j'ai jouis encore dans mes lents basculements... j'ai jouis quand il est venu me pincer les tétons en se penchant sur mon dos ; j'ai jouis quand il a glissé un doigt dans mon anus ; j'ai jouis quand il a tiré sans ménagement sur mes cheveux pour que je m'empale plus fort ; j'ai jouis quand il m'a mis quelques claques encore....

et j'ai jouis aussi en me branlant le clitot très fort quand il a grogné pour me contourner et venir se branler juste devant mon visage, alors que j'allais exploser... j'ai jouis en me branlant aussi pendant qu'il lachait son sperme dans ma bouche ouverte par le plaisir, sur mon nez, sur mes joues, sur mon menton....

et je n'ai pas rechigné à sucer son gland quand il l'a poussé entre mes lèvres, meme si son jus gluant m'a paru trop salé et trop amer... je crois meme que j'ai avalé directement un dernier jet de sperme...

il m'a fait rire alors en me rappelant que je devais lui offrir une bierre...

je me suis essuyée le visage avec une lingette, on s'est rhabillés, et on est allé dans la cuisine pour sa bierre... j'en ai pris une, riant avec lui en comparant son gout amer avec celui de son sperme...

on a discuté plus sérieusement ensuite... mon age, son age ( il a treize ans de plus que moi), mes études, son métier, ma vie, sa vie... et on s'est entendu pour se retrouver en boite le samedi...

 

Par conf - Publié dans : confession féminine
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